Tenons ainsi un verre rempli de liquide froid (jus d'orange) et apprécions le contraste thermique.
Verres et coupelles vus en imagerie infrarouge, les coupelles sont à température ambiante ainsi que le verre du milieu, celui de gauche est rempli d'un liquide à 4°C d'origine, celui de droite à 100°C d'origine.
Image thermique latérale des 3 mêmes verres.
L'image en fusion thermique ci-dessus illustre la problématique du verre surtout quand lui et son contenu sont à la température ambiante, globalement, on perçoit plus l'environnement que l'objet lui-même.
L'image ci-dessus est un peu particulière en ce sens que s'agissant d'un verre en plexiglas, on voit quasi la température de contact de l'eau car le plexiglas est si transparent aux infrarouges qu'il est impossible à thermographier en-deçà d'une certaine épaisseur et donc qu'il cause un faible amortissement de la température réelle de ce qui est derrière lui à de faibles épaisseurs du moins, tout comme le verre transparent en lumière visible.